Une dame du déjeuner scolaire du Connecticut accusée d’avoir envoyé des photos nues d’étudiants et des vidéos explicites

NEW FAIRFIELD, Connecticut (TCD) — Un ancien employé de la cafétéria de l’école, âgé de 31 ans, fait face à des accusations après avoir prétendument envoyé des photos nues à un étudiant adolescent et s’être rendu à une fête pour le rencontrer pour des relations sexuelles.

Selon la police de l’État du Connecticutles responsables ont appris les allégations pour la première fois en janvier après qu’un parent inquiet eut appris une possible rencontre sexuelle entre un mineur et Andie Rosafort.

Lors d’un entretien, la victime juvénile a déclaré à la police « qu’elle communiquait » avec Rosafort via « des messages privés sur les réseaux sociaux depuis plusieurs mois ».

Le mandat d’arrêt obtenu par WVIT-TV allègue que la victime a rencontré la dame du déjeuner à son collège, et il l’a ajoutée sur Snapchat.

Ils auraient commencé à parler sur l’application de médias sociaux au cours de l’été 2022, et Rosafort aurait envoyé un message disant : « Tu veux voir quelque chose ? »

Rosafort aurait alors envoyé à la victime mineure « des images et des vidéos sexuellement explicites non sollicitées », et elle les a également demandées à la victime.

La victime a déclaré à la police que le 13 janvier, Rosafort avait demandé à se rencontrer, alors Rosafort a conduit pour récupérer le mineur.

La police a déclaré: « La victime a en outre allégué que Rosafort avait conduit sur une courte distance et avait eu des contacts de nature sexuelle avec eux, à l’intérieur du SUV. »

La victime se serait sentie mal à l’aise, aurait quitté le véhicule et serait retournée à la fête chez son ami.

Selon la police, un témoin juvénile a déclaré qu’ils essayaient d’aider la victime à bloquer Rosafort sur les réseaux sociaux pendant la fête, et ils ont vu les messages envoyés depuis Rosafort.

Lors d’une fouille du téléphone de la victime, la police a trouvé un contenu explicite de Rosafort et a obtenu les données et les enregistrements de son téléphone portable à partir de comptes de médias sociaux. Les photos et vidéos auraient été « conformes en apparence à celles décrites par la victime ».

Le lundi 20 février, Rosafort s’est rendue à la police et a été accusée d’agression sexuelle au deuxième degré, d’incitation d’un mineur par ordinateur et de risque de blessure pour un mineur, a annoncé la police. Elle a été libérée moyennant une caution de 100 000 $.

Elle a plaidé non coupable et doit comparaître devant le tribunal le 23 mars.

Selon WVIT, Rosafort ne travaille plus pour le district scolaire.

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