Né aux Etats-Unis à la fin des années 90, le mouvement body positive prône la diversité des corps pour inviter les femmes à ne plus cacher leurs rondeurs et à les assumer. Largement diffusé et popularisé par les réseaux sociaux et repris par les marques et grandes enseignes de prêt à porter, le body positive connait aussi ses limites et ses dérives. Catherine Grangeard, psychologue, psychanalyste et auteure de La femme qui voit de l’autre côté du miroir, nous parle de ce mouvement salutaire mais à double tranchant.
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